Haru Kiri

~----------------Personnage--------------------~

Nom : Kiri
Prenom : Hari (Mais Haru par les bonhommes du Kansai)
Surnom : Marteau de Kyklôps, autrement dit « Cyclope »
Grade : D

Road : Crash Road. Route simple, sans aucune beauté, grâce, élégance dans son utilisation. Mais elle a l’avantage d’être simple, directe, et meurtrièrement efficace. L’utilisation des Air Treck permettent à son utilisateur de décupler certaines de ses caractéristiques. Ceux qui roulent sur cette voie utilisent leurs AT pour faire exploser leur puissance physique. En prenant appuie contre le sol, les rollers utilisent leur fonction principale motrice. De cette façon, une sorte d'énergie qui se traduit souvent par vitesse remonte tout le long du corps et fait exploser les mouvements et lui offre une puissance instantanée monstrueuse. En l'occurrence ici, celle des poings. Ainsi, un individu qui a accepté de faire quelques sacrifices et qui a accepté de marcher sur cette route, obtient le pouvoir de briser les murs et soulever les montagnes. Mais comme dit plus haut, ce pouvoir ne s’acquiert qu’au prix d’un sacrifice plus lourd encore. Le ciel s’éloigne chaque jour un peu plus, et la jalousie envers ceux qui sont capable de voler haut là haut, libre et sans entrave ne devient que plus grande.

Team : Aucune
Age : 19 ans
Taille : 1m82
Poids : 76 kg

Histoire : Haru n’a jamais connut ses parents. Son père et sa mère sont en effet mort lorsqu’il était très jeune, l’un noyé dans sa baignoire en s’endormant, l’autre en s’électrifiant à coup de sèche cheveux en sortant de sa douche. Du coup, l’infortuné enfant du grandir dans un orphelinat, perdu dans le Kansai, entouré de dizaines de gamins et gamines dans la même situation. Le destin, dirait-on.
Très jeune, ce garçon fut comparé a Fritz Von Erich ou même Giant Baba pour sa force démesurée et son corps dur comme fer. Petit mais costaud était l’expression parfaite pour le décrire. Il était jeune, mais vraiment très fort. Un grand avantage face aux autres enfants, qui le respectaient énormément. Il était en effet le « grand frère » qui limitait les emmerdes, aidait les petits qui étaient dans des situations compliquées ou dangereuses, « Leader » en quelques sortes.
Mais à l’âge de 8 ans, Haru dut quitté l’orphelinat, au détriment de tous ses petits camarades qui l’aimaient vraiment beaucoup. Un homme, la trentaine peut-être, eut l’autorisation de l’adopter et lui fit fils. Kiri devint alors son nom de famille. Lui qui n’avait jamais connut ses parents, espérait comme n’importe quel enfant avoir un nouveau père gentil, respectable et bienfaisant. Mais ses rêves volèrent rapidement en éclats. Ce dernier était - comme vous auriez pu vous en doutez - un type exécrable, égoïste au possible qui faisait faire toutes les basses besognes à son enfant adoptif. Lorsque ce dernier se mettait à faire le feignant, il n’hésitait pas à le frapper. Le grand classique. D’un côté, les papas gentils, de l’autre, les papas violents. Les grands stéréotypes de notre époque.

Bref, une petite enfance mouvementée, perturbée par la perte des parents puis la retrouvailles avec un père borné et complètement fou. Hypocrite et fou. Mais qui au fil des années, devint de plus en plus « calme ». Chaque jours qui s’écoulaient lui retirait un peu plus du peu de force qui lui restait. Et très bien rapidement - j’entends bien ici par quelques années -, ce dernier ne pouvait plus faire grand-chose, et encore moins violenter son enfant. Ce dernier, qui avait alors peut-être 12 ans, profita de cette liberté nouvellement acquise.
Mais ces années dans la souffrance ne servirent pas à rien, non plus. Il était fort lorsqu’il était jeune, il l’est devenu davantage lorsqu’il devint adolescent. A l’école, au collège, il impressionnait tout le monde par sa force, malgré son physique très svelte. Sa musculature lui permettait de soulever collines et montagnes. Et d’une manière assez étrange, il obtint le surnom qu’est « Marteau de Kyklôps », autrement dit, le « Marteau du Cyclope ». De nombreux collégiens de sa région venaient vers lui pour le provoquer en duel, et la plupart finissaient sur un plateau, haché menu. Sa réputation devint - dans sa petite région de merde - presque légendaire, et la comparaison de Haru avec Giant Baba et autres grands catcheurs, boxeurs ou je ne sais quoi de l’époque devint de plus en plus « valable ».

Puis à la fin de ses quinze ans, lorsqu’il devait choisir un lycée où aller, son père adoptif expira. Les dernières années lui avaient demander trop d’effort et c’est sans surprise qu’il décéda. Pour le mieux ou pour le pire. Haru obtint le droit par la législation de vivre seul, à condition de recevoir l’aide d’un parent. Son oncle accepta de lui aider un tant soit peu financièrement, pour qu’il continue ses études et qu’il ait un endroit décent à vivre. Son choix se porta dans un petit studio à Tokyo, ville inconnue mais étrangement attirante.
Et puis arrivé là bas, tout s’enchaîna. Le lycée, les amis, les copines, et aussi l’AT. Chose merveilleuse qu’est l’AT. Des rollers, étranges et super stylées, qui permettait à ses utilisateurs de « voler ». De danser dans les airs et pratiquer diverses figures, toutes plus impressionnantes les unes des autres. Bref, l’AT devint pour lui une sorte de passion, quelque chose qui devint comme nécessaire à sa vie. Qui devenait chaque jour plus importante. Il se mit donc à en pratiquer, et à devenir plutôt bon, mais sans vraiment avoir un but.

Sa légende, qui parcourait le Kansai, devint d’autant plus importante lorsqu’on entendit « Kyklôps » dans les bas-fonds de Tokyo. Un Stormrider au poing fulgurant et dévastateur, qui non seulement soulevait les montagnes, mais qui les détruisaient, éclataient en mille morceaux.

~----------------Statistiques--------------------~

Niveau : 15
XP : 84

Vie : 350

Trickster : 125

Force : 70
Endurance : 35
Vitesse : 20
Style : 25
Trick : 20

~----------------Air Treck--------------------~

Grade : D
Force : 20
Vitesse : 5
Style : 5



~----------------Techniques--------------------~

Trick :

Rang F :

Rang C :

Rang A :

King :